Pris dans les filets de Wanda

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il y a 4 ans

Jeudi, 17H00. Grosse journée mais bonne journée. De bonnes nouvelles de certains de nos patients. Je gagne le parking, ma voiture. J’attends. C’est aujourd’hui que j’ai décidé de l’aborder. Il arrive. Il pose son veston dans le coffre impeccablement propre. Je me mets en route. Sur la départementale je le précédé. Il me rattr a p e dans les lignes droites mais je le distance en sortie de virage. C’est un bon conducteur. Il pousse un peu pour se rapprocher. Mais, visiblement, il n’a pas l’intention de doubler. Je m’engage sur le chemin qui dessert notre forêt. Un chemin privé construit par les propriétaires des trois seules maisons sur ce versant du col. Je passe l’accès à la première maison et un kilomètre plus loin met mon clignoteur à droite afin de m’engager dans l’accès à ma propriété. Une fois hors de la route, je m’arrête, me retourne et fait un signe amical. Il se gare, mets le frein de parking, coupe le moteur et sors afin de me saluer.

  • Je suis Wanda Khauters. Vous me reconnaissez ?

  • Wanda Khauters. La psychiatre de l’équipe ?

  • Oui. Et vous, vous être Serges Delille. L’oncologue.

  • Exact.

  • Si vous veniez prendre un verre à la maison ? Disons, demain, 18H00.

  • D’accord. Mais pas d’alcool.

  • Je sais. Demain 18H00. Des softs ou de l’eau. Et après nous baiserons !

Ce disant je démarre et le laisse à sa surprise.

Le jour suivant passe à une vitesse folle et je rentre vers 16H30.

Une douche. Ma courte robe de cuir blanc qui met en valeur ma peau légèrement halée. J’ai quand même un problème physique. Je suis une athlète de deux mètres cinq (Il a dû le lire sur ma fiche médicale comme j’ai lu la sienne), musclée mais sans excès, des seins généreux et des hanches très féminines. Je commence mes journées par un footing de 15 km et les termine par une heure de muscu. Je fais quand même un peu peur aux hommes. Et, quand vous éliminez ceux qui me chassent par défi, il ne reste pas grand-chose.

Il arrive. Je lui indique où se garer. Il sort de sa voiture. Il porte un costume trois pièces. Chemise blanche. Cravate. Il a apporté une magnifique rose et une bouteille de Bourgogne.

Je l’accueille d’un petit baiser sur le bout des lèvres et lui propose de prendre place dans le salon de jardin.

  • Je te débarrasse et reviens avec les rafraîchissements. De l’eau, je suppose ? Plate ou pétillante ?

  • Pétillante si vous plait.

Je reviens avec un plateau garni d’un seau à champagne contenant la bouteille d’eau et deux verres emplis chacun de trois glaçons et d’une rondelle de citron. Je nous sers et m’assied dans le canapé côté opposé au sien. La température est parfaite et une légère brise rend l’endroit particulièrement agréable. Nous devisons de nos occupations de la journée et de celles de lundi. Je ne vois pas le temps passer.

Je ne veux pas lui laisser d’illusion. Je suis une adepte du BDSM. J’adore les jeux de bondage. Je suis une dominatix non exclusive. Dans mes liaisons précédentes, chaque fois que j’ai expliqué à mon partenaire mes préférences, il s’est poliment volatilisé. Cette fois, je veux poser le décor dès l’entrée en matière. Je coupe la conversation qui pourtant était fort plaisante.

  • Bon. C’est bien agréable tout cela mais, comme je te l’ai dit hier, nous sommes ici pour baiser. Donc, à poil !

Il est décontenancé et esquisse un petit sourire.

  • A poil et tout de suite ! Tu apporteras tes vêtements dans le hall que je les range.

Ce disant je le quitte et entre dans la maison. Je le surveille par la fenêtre du hall. Va-t-il s’enfuir ? Il obtempère. Lui qui avait revêtu son costume se retrouve avec son ensemble trois pièces à l’air. Il entre et je le débarrasse de ses vêtements, les range avec précaution dans un vestiaire que je ferme avec un cadenas à numéros.

Là. A poil, sans accès à ses vêtements, son portable et ses clefs de voiture, il doit se sentir vraiment dépendant. Je m’approche de lui, pose mes mains sur ses hanches et lui donne un baiser, léger mais en introduisant quelque peu ma langue dans sa bouche. Je vois que sa queue prend ses aises sans pour autant bander franchement. Je lui prends le scrotum entre le pouce et l’index, puis referme mes autres doigts, un par un, finissant par lui comprimer fortement les testicules. Le contact de mes mains larges et musclées avec ses organes génitaux est très agréable. J’en perçois la propreté. La douleur que je lui inflige doit être supportable. Je sers plus fort et ordonne.

  • A genoux. Dis : « Je suis votre soumis, Madame. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez et je ferai ce que vous voulez. »

Il s’exécute et déclame : « Je suis votre soumis, Madame. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez et je ferai ce que vous voulez. »

  • Bien. À tout moment, si tu veux arrêter, tu dis : « Rouge rouge rouge. » Si tu veux signaler que tu approches de tes limites mais que tu veux continuer tu dis « Orange orange orange. » Compris ?

  • Oui Madame.

Il semble disposé à jouer. Je sens la peur de l’échec m’abandonner. J’ordonne.

  • Sur la table ! Couché sur le dos !

Il s’exécute. Je lui enserre les couilles d’un anneau fermant au moyen de deux vis à tête hexagonale. Je fixe une laisse dans l’œillet soudé à l’anneau.

  • A quatre pattes. Tu ne te lèveras que sur ordre.

Il obéi. Une fois au sol, je tire un coup sec sur la laisse pour lui faire sentir ma domination. Je sais qu’il n’a aucune habitude de ce genre de pratiques mais qu’il est avide de toute expérience nouvelle. Je me suis renseignée sur lui.

Pendant sa formation, il a entretenu une relation de deux ans avec une jeune fille. Celle-ci est décédée d’une leucémie à la fin de leur deuxième année universitaire d’où le choix de sa spécialisation en oncologie. Il n’a plus été en couple pendant le reste de sa formation mais ses « amies » ne l’on pas laissé dans la misère sexuelle. Rares étaient les week-ends où il n’était pas accompagné d’une sexfriend. Depuis deux ans qu’il est dans l’équipe, il a eu deux relations suivies avec des collègues dont une s’est terminée il y a sis semaines. Il a la réputation d’un gentlemen type « vieille France » et d’un baiseur très, très endurant. Ces deux relations ont avorté car les femmes craignaient de s’engager, trop vite à leur goût, dans une histoire durable. Que des éloges de ses anciennes compagnes !

Je le dirige vers l’escalier puis fixe sa laisse à un crochet trop haut pour qu’il puisse l’atteindre. Il a les jambes tendues et est penché en avant les mains au sol pour soulager au maximum la traction sur ses couilles. J’aime les voir ainsi.

Je le quitte afin de faire le tour des pièces pour fermer, portes, fenêtres et volets roulants. A mon retour, je le décroche, lui fait monter les escaliers et le dirige vers la salle d’eau où se trouve une immense douche à l’italienne. Je m’empare d’un petit pot de vaseline et lui en enduit le cul, fait de même avec l’embout anal du tuyau de douche. J’ouvre le robinet et règle la température puis referme celui-ci. Je m’approche de lui, par derrière et je lui introduis le dispositif de lavement anal dans le fondement. Je le sens crispé mais je peux le comprendre car je sais que c’est sa première expérience. Je lui positionne le tuyau sans lui infliger la moindre douleur. J’ouvre à nouveau le robinet et l’eau tiède lui envahit le rectum. Je sais qu’il doit se sentir petit devant moi.

Il ne sait pas encore qu’il peut être complètement à l’aise avec ce qui lui arrive. J’aime le sentir ainsi fébrile. Je maintien l’embout afin qu’il ne lui ressorte pas du cul. Ses intestins de remplissent d’eau et la pression devient telle que l’eau s’écoule par son anus. Je vois passer un liquide brunâtre. Il est tellement gêné qu’il n’existe plus. Pendant bien une minute il reste ainsi. Le liquide s’éclairci et devient limpide.

  • Bon ! Assis sur le WC et expulse tout ce que tu peux.

Il s’exécute rempli de honte et une fois bien vidé sous mes yeux je lui ordonne.

  • Sous la douche ! Lave-toi !

Il obéi et je m’installe afin de l’observer. Quand il arrive à mon sexe je lui dit : « Ça, c’est pour moi ! » Je m’approche, saisi son sexe, le décalotte et le lave énergiquement. Evidemment, il attr a p e une trique d’enfer.

  • Continue ! Rince-toi et sèche-toi !

Il termine et se sèche. Bien sûr, je me réserve le séchage de sa queue, de ses couilles et de son cul. Je le reprends en laisse et l’emmène dans une chambre meublée comme un donjon BDSM et garnie de matériels et appareils dont il ne doit pas connaître l’usage. Je l’accroche comme tout à l’heure et me dirige derrière le paravent. J’en ressort avec un ensemble en latex rouge, soutien-gorge ne couvrant que le bas de mes seins, porte-jarretelles et hautes bottes.

  • Maintenant, tu vas me baisser avec application !

Je m’allonge à plat ventre sur le lit couvert d’un drap de satin noir. Il s’approche, toujours à quatre pattes, monte sur le lit et commence à me masser le cou et les épaules tout en me donnant de petits baisers sur le dos. Je grogne d’aise. Il accompagne ses baisers de coups de langue et goûte mon corps. Sa queue se dresse immédiatement. Il descend progressivement sur mon dos, massant et goûtant ma peau et ce jusqu’à ma ceinture. Il me détache et m’enlève mon ensemble que je n’aurai porté que quelques minutes. Puis, il reprend à partir du pied en remontant le long de ma jambe jusqu’en haut de la cuisse. La jambe gauche puis la droite. Le drap est déjà mouillé entre mes jambes. Un liquide clair, épais et dégageant la bonne odeur de la femelle propre.

Il pose une main sur mes deux fesses et les masse délicatement mais fermement en plaçant mon majeur sur mon périnée. Il poursuit pendant deux bonnes minutes au rythme de mes grognement de plaisir. Je me retourne, l’empoigne par les cheveux et lui plaque la bouche sur ma vulve. Il comprend mon désir et me lèche et suçote le clitoris avant de descendre entre mes lèvres bien ouvertes et d’enlever avec la langue la cyprine qui s’y trouve. Il donne ensuite de longs coups de langue partant du périnée et allant jusqu’au clitoris. J’en gémit de plaisir.

  • Oh oui ! Encore ! Encore !

Il m’applique la bouche ouverte sur toute la chatte et pompe délicatement tout en enfonçant sa langue le plus profondément possible dans mon vagin. Sa bouche doit se remplir de mes secrétions. Il se redresse afin de me montrer qu’il avale celles-ci et reprend sa besogne.

Il passe ses bras sous mes fesses et me saisit le poignet droit dans sa main droite et le gauche dans sa main gauche. Il me donne ainsi le sentiment d’être immobilisée. Ma respiration s’accélère et il ralenti ses caresses bucco-génitales afin que j’en profite plus longtemps et qu’il puisse d’avantage boire ma cyprine ce qui visiblement lui plait. Je me calme et me laisse lentement envahir jusqu’à un orgasme intense. Il me taquine en me titillant le clitoris sachant combien il est sensible à ce moment.

Pour me venger, je lui applique le nez et la bouche dans ma chatte et l’y bloque en serrant mes deux cuisses. J’attends une vingtaine de secondes qu’il tente de se dégager. Je le bloque. Il manque d’air. Il panique. Rien n’y fait et malgré son mètre quatre-vingt-cinq et sa stature athlétique, je suis plus forte que lui. Il se débat comme un diable pendant une minute, puis, je le sens défaillir. J’attends encore un peu qu’il soit complètement inconscient. Pas de risque. J’ai un ballon, le matériel d’intubation et un défibrillateur dans la commode. Drôle de nana quand même !

Je n’en aurai pas besoin. Quelques insufflations suffisent à relancer sa respiration. Il est allongé sur le lit et je l’engueule : « Alors, tu as voulu faire le malin ! »

Je le toise pendant qu’il reprend ses esprits.

  • Implore mon pardon !

  • Pardonnez-moi, Madame. Je vous promets de ne plus le faire.

  • Bon ! Tu seras puni et nous n’en parlerons plus.

Ce disant, je lui masse la base de la queue ce qui le fait immédiatement bander comme un âne.

  • Allez hop ! Prends-moi en missionnaire !

Je m’allonge sur le dos et il s’agenouille entre mes jambes. Il se penche vers moi et pose ses mains de part et d’autre de mon corps. Je lui saisis le sexe, le décalotte, passe aussi un doigt sur le méat et dirige celui-ci sur l’entrée de mon vagin qu’il pénètre aisément tant il est mouillé. Il s’enfonce au plus profond de mon intimité et je pousse un long soupir de contentement. Je lui montre le liquide pré éjaculatoire que j’ai a prélevé sur son sexe, dépose mon doigt sur ma langue et m’en délecte. Il commence ses mouvements lents et profonds. Je m’amuse à contracter et relâcher mon vagin. Il s’immobilise afin d’en profiter.

  • Ça te plait ? Attention ! Interdiction d’éjaculer ! Quand tu y seras presque, fais-moi signe. Plus vite maintenant.

Il accélère progressivement son rythme et je commence à émettre des plaintes de plaisir.

Après trois bonnes minutes à cette vitesse il commence à avoir du mal à se retenir et m’avertit de son éjaculation imminente. Je lui comprime fortement la base du sexe entre le pouce et l’index ce qui lui fait perdre immédiatement toute envie ou possibilité d’éjaculer.

  • Si cela ne suffit pas, je peux t’écraser le gland entre le pouce et l’index replié. Cela marche très bien aussi. Allez ! Au boulot ! Madame en veut encore !

Je sais, de mes partenaires précédents, qu’ils craignent mon attitude quand ils ont éjaculé et qu’ils débandent.

  • Tu as peur de ce qui va t’arriver quand tu débanderas. Tu as raison. Tu vas souffrir.

Il pense que je lis dans ses pensées. Il reprend sa besogne. Il est vrai que pareil travail ne doit pas être pénible. Je gémis au rythme de ses bourrées. Soudain, je jouis à un moment et d’une manière inattendue. Bon point pour lui.

  • Je jouis, je jouis, ne bouge plus !

Il s’immobilise afin de me laisser profiter de mon orgasme. Je ramène un pied sur ses fesses, le prend à deux mains et tire dessus afin de l’enfoncer encore plus profondément moi. Je râle de plaisir. Nous restons ainsi bien deux minutes.

  • Retires-toi ! Maintenant tu vas me sodomiser. Mais avant cela tu vas m’attacher. Les liens sont prêts à la tête et sur les flancs du lit. Effectivement, j’avais placé des menottes en cuir rembourré aux endroits désignés. Il m’attache les poignets et je me retrouve les bras tirés latéralement, la tête plaquée sur le matelas. Une fois mes chevilles attachées, je lui présente mon cul et ma chatte béants.

  • Tu peux y aller. Je me suis lubrifiée en me préparant.

Il s’introduit avec douceur dans mon cul.

  • Ah ! J’adore cette sensation d’être vaincue. Tu verras. Toi aussi tu vas aimer.

Après quelques mouvements, je deviens véritablement folle et il s’arrête.

  • Continue. Tu ne t’arrêtes que si je crie : Rouge rouge rouge. Tu n’imagines pas comme c’est bon de se voir imposer un plaisir aussi intense.

Il reprend ses va et vient et cette fois je couine comme un cochon que l’on égorge et me débat comme un diable. Il comprend que si je n’étais pas attachée, vu ma f o r c e, il ne pourrait pas me maîtriser. Il me saisit par les hanches et me pilonne encore plus v i o l e m m e n t. Mes cris redoublent et dans la lutte je pense encore à lui dire : « Et pas question d’éjaculer mon cochon. » Il a du mal à se retenir et sort un instant de mon cul pour pouvoir se retenir. Après une trentaine de secondes il me pénètre à nouveau et notre lutte reprend. Je me sens soudain trempée par un liquide chaud. Je n’en peux plus et me suis laissé aller sur moi.

  • Continue ! Tu n’as jamais baisé une femme fontaine ?

Il reprend sa saillie et me fait à nouveau hurler pendant deux bonnes minutes.

  • C’est bon ! Tu peux arrêter ! J’ai eu ce que je voulais. Va t’asseoir dans le fauteuil et mate-moi. J’adore être matée par un homme après avoir joui à perdre tout contrôle.

Il s’installe dans un confortable fauteuil et profite d’une superbe vue sur une femme qui vient de jouir. Je continue à pousser des petits cris de plaisir, puis des grognements pendant cinq minutes.

  • Ok ! Détache-moi !

Il se lève et avance vers moi.

  • Qui ta permit de te lever ! A quatre pattes ! Tout de suite !

Il s’exécute et approche du lit, me détache. Il est bien dans le jeu.

J’enlève le drap, l’alèse et le protège matelas trempés de mon plaisir.

  • Un peu de ménage !

Je sors les mêmes pièces propres d’une armoire. Nous refaisons le lit impeccablement.

  • Direction la buanderie au sous-sol.

  • Je passe par les toilettes.

  • Pas question ! Je m’occupe de cela pour toi.

Nous descendons au sous-sol. Il ne manque pas de voir que celui-ci est aménagé en véritable antre de l’inquisition. Il doit éprouver une certaine appréhension sachant que tôt ou tard Je le t o r t u r e rai avec ces instruments inconnus et qu’il se laissera faire allant même jusqu’à y trouver du plaisir. Je lui ordonne de se remettre à quatre pattes et lui fait remonter les escaliers en le tenant en laisse. Une fois au rez-de-chaussée, j’ouvre le volet et la porte donnant sur le jardin, le fait sortir et traverser la pelouse jusqu’au pied d’un grand marronnier.

  • Allez, lève la patte !

Comme il reste dubitatif, je tire une bonne fois sur sa laisse attachée aux couilles et il obtempère. Il fait frais et étant tous deux nus nous ne nous attardons pas à la contemplation d’un ciel pourtant magnifique. Nous rentrons et je referme la porte et le volet roulant.

  • Bon ! Passons aux choses sérieuses. Tu m’as bien fait jouir et c’est un bon début. Maintenant, je vais disposer de toi et a b u s e r de ton corps. Tu va souffrir et tu vas jouir comme jamais. Rappelle-toi que tu es libre d’arrêter à tout moment en disant : « Rouge rouge rouge. » Si je te bâillonne, je mettrai dans ta main une alarme à relâchement de pression. Tu arrête d’appuyer et elle sonne.

Je joins une démonstration à la parole et il semble rassuré. N’empêche ! C’est la première fois qu’une femme le tient par les couilles et le fait courir comme un chien. Bizarrement, il n’est pas atteint par ces traitements. Ils n’existent pas dans son monde mais seulement dans une parenthèse ludique librement consentie.

  • Ouste ! Au sous-sol !

Une fois en bas, je mets une musique assourdissante avant de refermer a porte. Rien ne filtre. Pas un bruit.

  • Ceci pour que tu comprennes que tu pourras crier autant que le veux, personne ne t’entendra et ne viendra à ton secours. Tu m’es complètement soumis.

Nous entrons, je coupe la musique et ferme la porte au moyen d’une serrure codée. Même s’il pouvait me vaincre, il ne sortirait pas. Je règle la musique sur un volume discret et agréable. Je choisis la toccata et fugue en ré m i n e u r de Jean-Sébastien Bach. Son morceau favori.

  • Ce n’est pas par hasard ?

  • Rien n’arrive par hasard mon cochon ! Je sais que ce qui va suivre va te plaire. Pour certains sévices, il te faudra du recul pour les apprécier pleinement mais tu en redemanderas. Place-toi entre ces colonnes !

Je lui attache poignets et chevilles aux menottes rembourrées. Il est sur ses deux pieds et ses liens sont lâches. Je lui place une cagoule en cuir sur la tête. Il ne voit plus rien et des écouteurs diffusent une musique assez angoissante l’empêchant d’entendre mes déplacements et préparations. Je commande les treuils qui lui écartent fortement les chevilles, puis les bras. La tension sur ses jambes se fait maintenant vers le haut et il perd l’équilibre. Le mécanisme l’élève par les pieds. Il ne sait plus où il est. Il ne le sait pas à ce moment mais il est filmé et je lui ferai l’honneur d’une visualisation commentée de ses prestations avant de détruire les fichiers concernés. Il est en fait pendu, tête en bas, bras et jambes écartés, offrant son sexe, ses couilles et son cul à mes sévices et ce, sans aucune défense possible. J’adore disposer des mecs ainsi. Un moment de calme. D’une poigne ferme je lui saisis les couilles faisant déborder celles-ci hors de la main. J’ajuste ma prise puis je le laisse languir. Je lui donne un coup ferme sur les testicules au moyen d’un « paddle ».

  • Oooooohhh !

Une douleur exactement mesurée pour induire le sentiment d’être dominé tout en donnant envie du coup suivant. Mes coups se suivent sans précipitation et malgré les cris de douleur et de surprise, je vois qu’il apprécie. Après un certain nombre, il doit quand même ressentir une douleur persistante qui lui donne envie de se soumettre pour récupérer. Je me place derrière lui et me colle contre son dos. Ma chaleur est apaisante et il se détend. Je lui prends alternativement un testicule puis l’autre en bouche et les suces confortablement. La douleur de la t o r t u r e disparaît et il flotte dans un bien être béat. Je lui fais sentir mes dents puis le relâche.

  • Allez ! Déclare-moi ta soumission ! Dis-moi que tu es une salope et toutes sorte de choses humiliantes et féminisantes.

Je lui reprends les couilles en bouche et ferme légèrement les dents.

  • Je suis votre soumis, Madame.

Pas assez, je lui fais sentir les dents plus fortement.

  • Je suis une salope, Madame. S’il vous plait, corrigez-moi.

Morsure plus forte encore.

  • Que peut-on faire de pire à un homme ?

  • Je ne sais pas.

  • Tu vas le savoir. Le sodomiser !

  • Orange, orange, orange.

  • Du calme, salope, tu vas aimer et en redemander.

Pendant deux bonnes minutes, il ne perçoit rien. Il est aveuglé et ses écouteurs masquent tous les sons. La musique a changé. J’ai sélectionné le Boléro de Ravel. Je coupe celle-ci.

Je lui introduis un genre de seringue terminé par un flexible d’une quinzaine de centimètres dans le cul. Je m’en sers pour le « lubrifier » copieusement et profondément.

N’empêche. Ne sachant ce qu’il lui arrive, il se crispe et se contracte.

  • Laisse-toi aller. Tu n’as aucune douleur à craindre.

J’ai même poussé le confort jusqu’à chauffer le lubrifiant à la température corporelle.

Je manipule les treuils afin de le positionner face contre une table rembourrée et pieds au sol bien écartés. Il est ainsi parfaitement positionné pour subir une saillie contre laquelle il ne dispose d’aucun moyen d’opposition. Ça, c’était ma vengeance de femme. Pouvoir sodomiser un homme. Puis, l’expérience aidant, j’y ai pris plaisir et je leur y ai fait découvrir du plaisir.

Je lui accroche un poids à l’anneau qu’il a aux couilles afin de tendre celles-ci vers le bas.

J’ai revêtu mon double gode et lui titille l’anus. Il se raidit.

  • Tu peux te serrer le cul autant que tu le veux mon coco. Lubrifié comme tu l’es, j’y entrerais une courgette sans effort.

Je m’introduis en lui. Doucement, pas trop loin, recule, avance plus loin et quand il commence à prendre confiance, d’un seul coup je m’enfonce doucement jusqu’à la garde. Il crie de surprise pas de douleur. Je commence à le besogner pour mon plaisir et plus tard pour le sien.

  • A nous deux mon cochon !

Il m’expliquera après que dans les premiers instants, il ne ressentit rien de spécial sinon une gêne due à l’objet dans son rectum. Je n’effectue que de petits mouvements peu profonds. De temps à autre, je pousse mon instrument le plus loin possible et de son aveu postérieur, bizarrement, la chose prend une autre tournure et quand je me retire quelque peu pour reprendre des mouvements plus superficiels, il attend la prochaine saillie avec une certaine impatience.

  • Cela te plait, salope ?

  • Oui.

  • Tu dis : « Oui Madame. Je suis une grosse salope et j’aime cela. »

  • Oui Madame. Je suis une grosse salope et j’aime cela.

  • Mais. Tout doit être payer. Avant d’avoir du plaisir, il faut souffrir.

Je me retire et je manipule les appareils afin de le présenter pendu par les pieds, joints, les bras détendus. Je lui détache les mains puis les menotte derrière le dos, chaque poignet attaché au coude opposé. Sur le film, on me voit tourner autour comme une lionne autour de sa proie. Je commence à lui frapper les fesses, alternativement la gauche puis la droite. Les coups sont légers mais leur répétition devient douloureuse. Je vais continuer jusqu’au premier s a n g . Au débriefing, je lui fais remarquer que la chose dure un quart d’heure. Cela lui avait semblé beaucoup plus court. Il m’explique qu’à ce moment, il était impatient d’être à nouveau pénétré. Je le rattache à la machine et le repositionne pour une nouvelle saillie. Je le saisis par les hanches et je place mon gode sur mon anus. Je le sens impatient mais le fait languir.

  • Tu as envie d’être prise, sale cochonne ?

  • Oui Madame. Je suis une salle cochonne qui voudrait que vous la défonciez.

Je m’introduis de quelques centimètres. Il tente de pousser son cul à ma rencontre mais ne peut le faire vu ses liens. Je me retire. Cela l’excite tellement qu’il a une trique d’enfer.

  • Mais c’est qu’elle bande, la salope ! Interdiction de bander ! Fais-moi retomber cette queue tout de suite !

Vite dit. Il ne trouve pas de possibilité d’exécuter cet ordre et, il faut le dire, je ne fais rien pour lui faciliter la tâche et répétant mes légères introductions.

  • Très bien ! Tu vas goûter à la cage de chasteté !

Mouvement de machines et je le repose dos sur le support. Après quelques instants, je lui manipule le sexe et les testicules afin de lui placer la cage ce qui n’incite pas son érection à s’estomper. D’une main experte, je lui place l’anneau autour de sa queue en passant derrière ses couilles, la fermeture arrière et avant. Je lubrifie l’intérieur du tube de la cage et sa queue que je veille à bien décalotter. Je lui place le tube sur celle-ci, tube qui évidement est trop étroit et trop court. Je sens son sexe buter au fond de celui-ci. Je fais quelques mouvements de va et vient afin d’encore f o r c e r son érection, puis je le préviens.

  • Tu n’as pas voulu débander. Maintenant tu vas déguster !

Je tire l’anneau vers le tube et parviens à joindre les deux pièces sous ses cris de douleur. Il a le tube sur le bout de son sexe et ses couilles tirées vers l’avant.

  • Alors, on continue ?

  • Ou… Oui. Oui Madame.

A ce moment, je l’abandonne dix minutes afin d’aller boire un Perrier citron.

  • Hé bien voilà. Un grand fort type monté comme un petit cheval qui se retrouve avec une toute petite queue. Rappelle-moi ta soumission ?

  • Je suis votre soumis, Madame. Vous pouvez faire de moi ce que vous voulez et je ferai ce que vous voulez.

  • Bien.

Nouveau mouvement de machine et le voici à nouveau présenté pour la bourrée.

Je joue de nouveau et alors que je le sens désespéré d’être pénétré, je le défonce d’un ample mouvement de bassin qui lui arrache un cri de plaisir. Je le pilonne et je le sens glisser dans une autre réalité. Mon plaisir commence à monter et mon orgasme m’arrache un cri de plaisir. Je fais encore quelques mouvements puis je m’immobilise pour savourer celui-ci. Je sais qu’il aurait voulu quelques minutes, quelques secondes de plus pour pouvoir jouir aussi. Après deux minutes de repos, Je me reprends.

  • Tu n’as pas joui. Tu sens la frustration.

  • Oui Madame.

  • Cela fait partie du jeu. Cela s’appelle le ‘edging. ». Je contrôle ton orgasme. Je t’y amène presque et j’arrête. Puis je recommence tout de suite ou plus tard. Je peux, par exemple t’exciter comme une bête tous les jours de la semaine et te faire jouir seulement le samedi. A propos, de quand date ta dernière éjaculation ?

  • Cela fera six semaines dimanche, Madame.

  • C’était avec Bernadette !

  • Oui. Comment le savez-vous ?

  • Bernadette est une amie et elle me confie tout. Moi de même.

  • Alors elle est au courant pour notre rendez-vous ?

  • Oui.

  • Il comprend mes sourires amusés. Vous lui avez fait part de ce que vous contiez me faire et vous allez lui raconter nos ébats après ?

  • Oui. Et si tu le veux bien, nous regarderons même le film ensemble. Qu’en dis-tu ?

  • Euh ? Oui. Pourquoi pas.

  • Bon. Maintenant j’ai envie de me défouler. Une bonne partie de fouet, cela te dit ?

  • Oui Madame.

En fait, il était prêt à tout pour peu que le jeu continuât.

  • Un jour, je te ferai éjaculer rien qu’avec des coups de fouet. Tu verras comme c’est bon.

J

e manie la télécommande et la machine le positionne Upside down, pieds joints et bras écartés. Je lui enlève la cagoule et il me retrouve dans une superbe tenue de lanières de cuir noir. Avant de commencer, je lui enduis les fesses d’un baume apaisant très efficace. Puis, tournant autour de lui pour le jauger, me mettre en appétit et faire monter son angoisse, je fais claquer mon fouet à plusieurs reprises. Je donne un premier coup qui lui brûle le dos et lui arrache un cri. Quelques coups claquent en l’air et je fais traîner pendant une minute avant de donner un second coup qu’il ressent moins. Même scénario avant le troisième coup qu’il sent à peine. Puis je me lâche. Les coups pleuvent sans trop le faire souffrir. Quand ma rage est passée, j’actionne la machine et le pose sur le sol pour le détacher. Je l’aide à se lever et il titube.

  • T’inquiète. Le fouet était enduit d’un anesthésique. Raison pour laquelle tu n’as presque rien senti. Allez ! Tous les deux à la douche et au lit. Demain, 04H25 debout pour le footing.

Il me montre la cage de chasteté s’attendant à en être libéré.

  • Tu vas t’habituer. Tu vas voir.

Après nous être douchés, il mit un temps fou à se sécher convenablement la queue et les couilles sous mon regard amusé.

  • Ce serait mieux si je te l’enlevais pour la douche.

  • Oui Madame.

  • Mais ce serait moins marrant pour moi.

Nous nous sommes couchés et je lui attrapai le bras gauche qu’il avait posé sur mon sein droit, sa main sur mon épaule. J’ai refermé mes bras sur le sien et nous nous sommes endormis. Dans la nuit, nous nous sommes réveillés et tournés sur le flanc gauche. Je lui ai saisi les couilles de ma main droite et les a pressées non pas pour lui faire mal mais juste pour lui indiquer que j’étais aux commandes.

  • Là. Tu es en main. Tu le sens ?

  • Oui Madame.

  • Non. Seulement oui. Si cela te dit, le jeu est en pause et nous sommes en couple.

  • Ok.

Et nous sommes partis d’un grand éclat de rire pour ne plus nous quitter.

  • Donc, 04H25 - levé. 04H30 – Footing. 05H30 - Douche. 06h00 - Déjeuné. De 06H30 à 08h30 - On travaille. 09h00 Nous avons de la visite.

  • Qui ?

  • Bernadette.

  • Ah oui …

  • Et si tu le souhaite, le jeu peut reprendre.

  • Ok. Ça me dit. Mais je n’ai pas mes dossiers pour travailler.

  • Karl les déposera à 06H30. Je le lui ai demandé. Il prendra ta voiture pour la faire nettoyer. Tu es … maniaque, je crois.

  • J’assume.

  • A midi. Restaurant avec Bernadette et Jean-François si son travail est terminé. Cela te dit aussi.

  • Oui. Très bien. Cela me fait vraiment plaisir.

  • Je l’espérait. L’après-midi, nous monterons jusque chez toi. Tu me feras visiter « Hurlevent ». Du temps de ton oncle, les gens n’osaient pas traverser la propriété. Sais-tu que tu es très bien vu dans le pays ?

  • Non. Je suis naturellement aimable et cela me fais plaisir de pouvoir rendre un service.

  • Si tu es d’accord, Marie et Pierre voudraient nous voir le soir. Nous pouvons les recevoir chez toi. Karl n’attend que l’ordre pour se mettre au travail.

  • Marie et Pierre. Mais c’est une réunion d’anciennes partenaires sexuelles. D’accord.

  • Comment crois-tu que j’ai eu les tuyaux pour tendre mes filets ? Entre femmes, il faut se soutenir. Et je peux te dire qu’aucune de tes ex n’a eu le moindre propos négatif à ton égard.

  • Pourquoi m’ont-elles quitté alors ?

  • Tu t’attaches trop vite. Cela fait peur aux femmes.

(Certains passages ci-dessous seront de la main de Serges)

..................

Serges :

04H25 Le réveil nous sort d’une nuit trop courte et d’un sommeil lourd. Nous passons à la salle d’eau où je remarque une brosse à dents neuve ainsi que mon dentifrice habituel.

  • Euh ?

  • Echange d’informations entre femmes !

  • Sous-vêtements, chaussettes, tenue de sport, Runner ?

  • Karl !

Wanda : Ici, je suis intervenue car Serges avait omis ce qui suit. Nous avons eu la discussion suivante :

  • Cela t’as plus d’être ainsi soumis ?

  • Je ne me suis pas senti soumis. Je participais à un jeu pour une part et j’étais spectateur de tes agissements d’autre part.

  • Ce n’est pas du tout ce que je veux. Je veux utiliser la f o r c e et la douleur pour te soumettre contre ton gré, que tu n’aies d’autre choix que de l’accepter. Es-tu prêt à essayer ?

  • Oui ! Mais comment être soumis si je peux à tout moment mettre fin à cela en énonçant le Safe Word ?

  • C’est la différence entre le BDSM et le sadisme. Tu est soumis, victime consentente.

  • Ok.

  • Ce soir, tu seras soumis !

Serge avait aussi omis la visite de Bernadette sous prétexte qu’elle ne faisait pas ,partie de notre histoire. Je l’ai obligé à la rajouter ci-après :

La matinée se déroule comme prévu et à 09H00 précises, la voiture de Bernadette remonte l’allée. Je suis nu et je porte une cage de chasteté. Elle fait son entrée et embrasse Wanda sans un regard pour moi.

  • A genoux. Les mains dans le dos et la tête baissée !

J’interroge Wanda du regard qui me fait signe d’obéir. J’obtempère et me place à la droite de la porte d’entrée. Diable. Je ne connaissais pas Bernadette sous cette facette.

  • Figure-toi que, ce matin devant la boulangerie ; un mâle, balourd, a embouti ma voiture.

  • Mais elle roule encore.

  • Oui mais cela m’a mise en rogne. Il faut que je passe celle-ci sur un homme. Tu me prêtes le tien ?

  • Oui. Tu peux en disposer comme tu le souhaites.

Je surprends un échange de clin d’œil. La chose était donc convenue entre les femmes. L’accrochage n’est qu’un emballage.

  • Toi ! Suis-moi !

Je fais mine de me lever pour la suivre.

  • A quatre pattes comme le chien que tu es !

Je suis les filles au sous-sol avec autant d’appréhension que curiosité. Pour la première fois de ma vie, je descends des escaliers à quatre pattes. Comme je n’avance pas assez vite au goût de Bernadette, je reçois une volée de coups avec la cravache que je l’ai vue décrocher en haut des escaliers. Je suis dirigé vers la salle de jeux/t o r t u r e s où, cette nuit, Wanda a abusé de mon corps, pour mon plus grand plaisir. Visiblement, Bernadette connaît les lieux ainsi que l’usage du portique élévateur.

  • Debout entre les colonnes !

Rapidement, elle m’attache tandis que Wanda prend place dans un fauteuil confortable afin d’observer le spectacle. Bernadette manipule la télécommande et je suis soulevé et mis en tension. Depuis hier, j’ai découvert qu’il suffisait que je me retrouve ainsi sous bondage pour avoir une érection incontrôlable.

  • Putain. Ce n’est pas vrai ! Il bande déjà. Hé Wanda ? As-tu essayé le bouton poussoir comme je te l’avais expliqué ?

  • Oui ! Ça fonctionne très bien.

Bernadette s’approche de Wanda et elles se parlent à l’oreille et partent d’un éclat de rire.

  • Je suppose que vous avez trouvé une idée pour me t o r t u r e r ?

Sans un mot, Bernadette se retourne et me jette un regard de mépris. Elle prend un objet dans un tiroir. Un genre de petit sac fixé sur un tuyau terminé par une poire. Elle me pousse le côté petit sac en bouche et gonfle celui-ci avec la poire. J’ai la bouche remplie et ne peux plus respirer que par le nez. C’est encore plus excitant et je sens ma queue qui pulse au rythme de mon cœur.

Nouveau conciliabule entre les filles.

  • De quand date ta dernière éjaculation ? Demande Bernadette.

Elle dégonfle et enlève le gag Ball

  • Cela fera six semaine dimanche.

  • Tu n’as plus éjaculé depuis que nous ne sommes plus ensemble ? Demande-elle.

  • Non. Je ne suis pas sorti avec une femme depuis.

  • Même pas une bonne branlette pour te soulager ?

  • Non.

  • Je suis sûre que si. Nous allons te faire avouer !

Ce disant elle me replace le gag Ball et s’en va quérir un fouet. Elle fait deux fois le tour de ma personne en le faisant claquer et je me rends compte qu’en fait j’attends, j’ai envie de ses coups. Le premier arrive. Très dur. Beaucoup plus dur que ceux de Wanda mais entre les coups elle prend le temps de me laisser récupérer.

  • Ah ! Ça fait du bien. Ma rage est passée. Donc, tu n’as plus éjaculé depuis six semaines.

  • C’est cela, Madame.

Ma t o r t i o n n a i r e s’en va chercher un petit sac qui semble assez lourd. Elle en sort un anneau ouvert auquel est attaché une chaîne et m’explique.

  • Je vais attacher et fermer l’anneau autour de tes couilles. Puis 200 grammes par 200 grammes, je vais attacher des poids. Je peux augmenter le poids jusqu’à ce que tu avoues ou, une fois que je le jugerai suffisant, laisser faire le temps et attendre que tu te soumettes.

Et ainsi elle mit dix poids de 200 grammes sur la chaîne. Même si c’est déjà lourd et désagréable, ce n’est pas particulièrement douloureux.

  • Bien ! Je vois que Monsieur fait le fier. Je te mets une commande dans la main. Nous allons monter et discuter entre filles. Quand tu seras mûr pour des aveux, appuies et nous viendrons entendre ceux-ci.

Je regarde l’horloge. 09H40. Les vingt premières minutes sont supportables. Celles passées, la douleur apparaît et croît de minutes en minutes. Comment faire ? Je décide d’avouer un forfait que je n’ai pas commis et j’appuie sur la commande. Les filles prennent leur temps. Dix minutes plus tard elles descendent.

  • Ce n’est pas possible. Après une demi-heure, tu n’es pas encore à point. J’ai compris. Tu avouerais n’importe quoi pour être libéré. Je vais t’ajouter un peu de poids et te laisser mijoter.

Elle ajoute deux poids de 200 grammes. Je veux passer aux aveux mais elle me replace le gag Ball gonflable qu’elle venait de m’enlever. Les filles s’en vont. Cette fois j’ai vraiment mal. Plus de commande. Rien. Je dois attendre leur retour. Et là, je trouve que le temps passe très lentement. 10H40. Je les entends revenir en rigolant. Bernadette m’enlève le gag Ball.

  • Et alors, quand t’es-tu branlé la première fois après notre séparation ?

  • Le mercredi, Madame.

  • Et puis ?

  • Le vendredi, le samedi et le dimanche.

  • Et au boulot ?

  • Tous les jours, à midi.

  • Voilà !

C’est donc vrai. Quand une femme vous tient par les couilles, elle vous fait faire ce qu’elle veut. Je suis reposé au sol.

  • Nous allons un peu changer de registre.

Elles me conduisent vers une croix de Saint-André où elles m’attachent confortablement. Bernadette va chercher un objet de la taille d’un radio-cd avec un cordon d’alimentation, des tubes et accessoires dont je ne saisis pas l’usage. Wanda vient m’enlever ma cage de chasteté. Bernadette lui dit :

  • Viens voir. Je vais te montrer le cou de l’interrupteur.

Ce disant, elle me saisit par la queue et en masse la base de celle-ci côté inférieur. Évidemment-, ma queue se dresse rapidement.

  • Ah oui ! Amusant s’exclame Wanda. C’est ce que j’avais fait.

Je les vois brancher leur appareil à l’alimentation. Y connecter un tuyau d’un côté et l’autre bout un tuyau plus large d’une vingt de centimètres. Au milieu du tuyau un dispositif utilisé en chimie pour récolter des produits de réaction. Elles mettent quelques jets de lubrifiant dans la partie la plus large du tuyau et sur ma queue qu’elles enfoncent dans le dispositif. Puis, elles mettent celui-ci en marche et le règlent. Immédiatement je sens ma queue pompée par les à-coups de l’appareil.

  • Nous n’avons rien cru de tes aveux. Comme tu n’as pas éjaculé depuis six semaines, nous allons te soulager.

Je comprends qu’avec ce traitement, je finirai par éjaculer. Ce que je n’avais pas compris, c’est qu’elles allaient me laisser connecter à la machine subir plusieurs éjaculations. Elles me quittent nouveau. Après dix minutes, j’ai un premier orgasme libérateur. Ouf. Cela fait du bien. Je vois le sperme progresser dans le tuyau jusqu’au filtre où il reste stocké. Les succions de la machine me t o r t u r e n t agréablement et la dépression m’empêche de débander. Après cinq minutes je sens que je vais de nouveau éjaculer et même scénario mais la t o r t u r e est, cette fois plus difficile à supporter. Cinq minutes plus tard, rebelote. J’appelle au secours.

Rien. Par après, sur le film qu’elles visualisaient en direct, j’ai pu me rendre compte qu’elles me surveillaient à mon insu. J’aurai encore huit orgasmes sans que je ne puisse plus émettre de sperme avant qu’elles me libèrent de la machine qui porte le nom de « Suck-O-Mat You 2 Toys ». Les filles commentent entre elles la quantité et la couleur su sperme récolté. Bernadette me nettoie la queue et les couilles avec beaucoup de soin.

Donc Serges voulait occulter cette scène. Je trouvais très humiliant de mettre un homme à la disposition de sa précédente partenaire sexuelle et je me suis délectée de la scène. J’aurais juste voulu le voir sodomisé par Bernadette mais elle n’a pas osé m’a-t-elle dit par après. L’omission de Serges montre quand même bien qu’il a vécu l’humiliation prévue.

Le récit de Serges reprend :

Elle vient ensuite me placer un petit appareil derrière les couilles fixé par un velcro courant autour des celles- et de ma queue.

  • Qu’est-ce ?

  • T’occupes pas. Tu verras en temps utile. Habille-toi.

Elles m’ont apporté un costume, une chemise, une cravate, un boxer, des chaussettes, des chaussures.

  • Pourrai-je passer aux toilettes.

  • Pas le temps. Nous sommes attendus au restaurant.

  • Je n’ai pas mon portefeuille.

  • Un avantage pour toi. Quand on est soumis, ce sont les femmes qui paient.

Je m’habille sous leur surveillance. Un coup d’œil dans le grand miroir. Je suis impeccable et l’objet fixé derrière mes couilles ne se voit pas. Nous montons au rez-de-chaussée et nous dirigeons vers la voiture quand Wanda dit :

  • On a oublié un truc !

  • Oui ! C’est vrai.

Wanda rentre dans la maison et ressort aussitôt avec un collier et une laisse. Elle me place le collier autour du cou et renf o r c e la fermeture par un petit cadenas. Elle prend place dans la voiture, Bernadette à côté d’elle.

  • Les soumis à l’arrière !

Je prends place et nous partons pour un court trajet vers le resto. La porte arrière ne s’ouvre que de l’extérieur. Wanda m’ouvre, se saisi de la laisse et nous rentrons dans l’établissement. Les clients nous regardent bouches ouvertes.

  • Nous avons une réservation au nom de Khauters.

  • En effet. Deux personnes et un animal de compagnie.

  • C’est bien cela.

C’est à moi que le patron, super sympa, fait un clin d’œil. Nous sommes installés dans un coin discret. Une table de deux personnes et un coussin. Wanda m’ordonne :

  • A genoux.

Je m’exécute. En fait, je m’amuse vraiment de la situation. Pour corser encore un peu celle-ci, Wanda me menotte les mains derrière le dos.

  • Pas de main, comme un petit chien.

  • A sa mémère !

Je me mange une claque. Silence complet dans la salle. Bon. Je ne dois pas exagérer. Le patron vient nous servir deux apéritifs.

  • Et pour votre animal ?

  • S’il pouvait avoir un bol d’eau, cela serait parfait.

  • Bien mesdames, je fais apporter la chose.

Dans cette attente, les femmes me font quand même boire à leur verre (d’eau). Des e n f a n t s se déplacent et rigolent discrètement de voir cet homme à genoux. Le bol arrive et bien que je n’aie pas soif, Wanda m’ordonne le boire à même le sol. Je bois discrètement mais j’ai quand même la figure mouillée. Elle essuie celle-ci avec sa serviette. J’ai aussi une envie d’aller aux toilettes. Vu que j’ai les mais menottées dans le dos, Wanda m’accompagne. Quand je suis au milieu de la salle, je ressens une décharge électrique sur mes couilles. Evidement. Ce n’était pas pour rien que cet appareil était en place. Je suis figé par la décharge et Wanda sourit. Je me reprends et fais trois pas. Nouvelle décharge. Ce n’est pas douloureux mais cela vous immobilise quand même.

Nous repartons te Wanda me fait entrer dans les toilettes pour hommes où elle me conduit à l’urinoir à côté d’un autre client. Elle se place derrière moi, ouvre ma braguette de sa main droite, descend mon boxer de sa main gauche et sort ma queue de la droite. En experte, elle me décalotte légèrement le gland et me tient le sexe. Je commence à uriner quand une nouvelle décharge me fige. Je sens Wanda rigoler doucement. Je serai encore arrêté trois fois pendant ma miction.

  • Tourne-toi vers moi.

J’effectue un demi-tour. Elle va chercher trois feuilles de papier WC qu’elle plie en quatre et place sur mon méat. Elle retire la peau du prépuce pour la remettre en place, puis saisit la base de ma queue et fait coulisser plusieurs fois ses doigts jusqu’au bout de ma verge. L’autre client nous regarde, ahuri.

  • Ah ! Si vous ne faite pas cela, la dernière goûte est pour votre caleçon. Et bonjour le fraîcheur et fin de journée.

Wanda range ma queue et nous repartons vers notre table. Par deux fois, le dispositif télécommandé émet un sifflement, genre d’avertissement. Cela fait tourner toutes les têtes vers nous. Puis, bien sûr, arrive la décharge qui me fige. Enfin nous nous attablons. Les femmes me donnent alternativement nourriture et boissons. Une fois le repas terminé, Nous nous rendons au comptoir pour payer. Le patron, toujours aussi sympa :

  • Vous nous avez bien fait rire. A une prochaine fois. Quand vous le voulez.

  • Nous avions pensé le faire marcher à quatre pattes, mais cela aurait abîmé son costume.

  • J’ai déjà eu des dominatrix mais elles avaient fait manger l’homme à table. C’est vrai que le coup du coussin et les mains attachées c’était super.

  • Au revoir. A la prochaine.

Nous reprenons la voiture pour le court trajet de retour. Nous sortons et Wanda m’enlève le collier. Fin de jeu. Ne prenons place dans le salon. Elle me fait lever, détache mon pantalon, le descend ainsi que mon boxer et enlève le petit appareil.

  • Peut envoyer des décharges électriques, des sons, des vibrations. Si on règle la puissance des décharges sur une valeur moyenne, accompagnée des vibrations, peut faire bander n’importe qui. Sous une djellaba sans sous-vêtements, c’est super marrant. Tu y auras droit dans une réception pleine d’inconnus.

Bernadette est redevenue celle que je connaissais. Nous discutons tous les trois de notre séparation et de sa rencontre avec Jean-François qui n’a pu nous accompagner. Elle nous quitte et nous prenons la voiture pour monter à « Hurlevent. » Nous visitons la demeure.

  • Mais, c’est encore plus grand que chez moi.

  • Oui. Mais seuls le rez de chaussée et le premier sont aménagés. Allons voir le deuxième.

Nous prenons l’ascenseur et Wanda découvre l’immense plateau en béton armé, les murs hauts de 2,50 mètres, le toit soutenu par de magnifiques fermes.

  • 24 mètres sur 16 aménageables.

  • Ouah ! Que de possibilités. C’est quand même une maison très austère. Grand bureau. Peu d’aménagements ludiques.

  • Mon Oncle avait 90 ans. Il ne s’occupait plus que de la gestion du domaine agricole.

  • Monique, mon intendante, souhaiterais aussi me voire réactiver l’exploitation des terres. Mais j’ai plus de bois que de terres.

  • Oui. Ici, nous sommes plus haut et il y a plus de prairies. Quelques terres cultivables sur le versant sud et est.

Nous redescendons et Karl nous communique son menu. Filet de Saint-Pierre. J’en ai déjà l’eau à la bouche.

  • Et si …

  • Si ?

  • Si nous habitions ici. Nous pourrions faire de la Khauter’s House une métairie qui exploiterait les deux domaines.

La fin de l’après midi se passe dans des projets. Karl est associé à notre brainstorming. Monique, l’intendante de Wanda est également appelée.

  • Vous n’aurez plus besoin de nous avec les métayers.

  • Que du contraire. Il faudra toujours gérer la maison d’une part et les relations avec la ferme d’autre part.

18H00 Marie et Pierre arrivent.

  • Salut les amoureux !

  • Comment sont-ils au courant ?

  • On ne parle que de vous à l’hôpital.

Pierre me donne une poignée de main virile et se trouve tout perdu en faisant la bise à Wanda qui le dépasse de trente centimètres. Marie me passe les mais autour du cou avant de se raidir.

  • Vous vous êtes assez monté dessus dans le passé. Vous n’allez pas recommencer. Wanda ne va pas aimer.

  • Pourquoi pas. Nous les regarderons faire et quand ils auront fini, ils nous regarderont. Je te dézinguerai grave, Pierre.

  • Bon. Bon. Je ne dis plus rien. Et tu sais bien que tes trucs, Wanda, Cela me fait un peu peur.

  • Un peu, seulement. Tu devrais te laisser faire, Pierre. Cela te ferait le plus grand bien.

Marie me donne un petit baisé sur les lèvres puis se serre dans mon cou tendant une main à Wanda avant de nous dire :

  • Tous mes vœux de bonheur !

  • Merci Marie. Mais tu sais que tu peux toujours l’utiliser.

  • Dites, les femmes, si nous vous dérangeons …

Gros éclat de rire collectif et, pour décontenancer Monique et Karl, Nous rentrons en couples switchés. Monique est interloquée mais Karl semble avoir compris. Pour semer encore plus le doute, Wanda soulève Pierre du sol et lui roule une pelle terrible. Marie me fait de même.

  • Mesdames et Messieurs, l’apéritif est servi.

  • Toujours sans alcool mon cher Serges.

  • Toujours, Pierre. Mais vous, où en-êtes-vous ?

  • Mariage en juin de l’année prochaine si vous ne brisez pas notre couple avant.

  • Cela tombe bien car, en mai, cela sera nous.

Monique et Karl sont rappelés pour trinquer, à l’eau pétillante, avec nous. Le repas se passe à bavarder médecine. De quoi pourraient parler quatre médecins. Marie est chirurgienne cardio et Pierre chirurgien abdo. Contrairement à nos habitudes, la soirée n’embraye pas sur des jeux sexuels car, à « Hurlevent », il n’y a pas de matériel. Je vois les femmes comploter. Puis Marie murmure à l’oreille de Pierre qui acquiesce. Marie prend la parole.

  • Pierre accepte, enfin, de se faire déniaiser. Nous descendons, Wanda et moi, à Khauter’s House. Le hommes peuvent descendre dans une heure.

J’expose nos projets à Pierre.

  • Tu ne vas pas un peu vite en besogne.

  • Tic tac tic tac.

  • C’est à cause de cela que Marie puis Bernadette t’on quitté. Tu leur fait peur.

  • Il faut oser, Pierre. Toujours oser plus. J’ai trop attendu après la m o r t de Ulma.

  • C’était un amour de jeunesse.

  • J’ai mis dix ans à m’en remettre.

  • Dix ans d’abstinence ?

  • Non. Des amies ont veillé à ma santé. Mais c’était du sexe et de l’amitié, pas des sentiments amoureux. Allons-y. C’est l’heure.

  • Je peux conduire ta voiture.

  • Oui.

Nous rejoignons Khauter’s House. Les femmes nous attendent au salon de jardin bien éclairé. Malgré l’heure avancée, il fait encore 27 degrés et il n’y a pas un souffle d’air. Elles sont belles à faire tomber les anges. Wanda en robe courte de cuir rouge vif et Marie dans un ensemble en lin qui vous enlève toute envie de réfléchir. Bernadette et Jean-François sont également présents. Bernadette a revêtu une robe de cocktail dos nu et visiblement sans soutien-gorge (Ses petits seins magnifiques n’en ont pas besoin) qui ne vous donne que l’envie d’y plonger vos mains pour y pétrir ses seins.

  • Messieurs. A la douche. Vous nous rejoignez à poil au salon.

  • Pierre maugrée un peu.

  • Pierre. Tu ne te ravise pas.

  • Ok. Je vous suis

Vingt minutes plus tard, nous sommes dans le hall prêts à faire notre sortie. C’est vrai, comme Wanda me l’a dit, Pierre est bien foutu. Dix centimètres de moins que moi et dix kilos de moins. C’est quand même un athlète de 85 kilos de muscles pour 1,75 mètre. Jean-François est plus sec avec 1,85 mètre pour 75 kg. Nous nous regardons dans le grand miroir.

  • Ma queue est plus grande que la tienne dit Jean-François.

  • La mienne est plus grosse dit Pierre.

  • Mais je pisse plus loin ai-je répondu.

Nous partons d’un fou rire avant de rejoindre les femmes pour leur répéter notre conversation philosophique. Le fou rire devient général. Nous descendons plusieurs verres d’eau fraîche. Après les avoir bus, je me dis qu’il y en avait trop. C’est un plan des femmes pour nous remplir les vessies et nous sommes tombés dedans comme des gros bleus.

  • Bon. Toute le monde au donjon ordonne Wanda.

Nous sommes dirigés vers une grande pièce que je ne connais pas encore. Trois croix romaines sont couchées et semblent nous attendre.

  • Serges au centre, les deux larrons à droite et à gauche. Couchez-vous sur vos croix.

Les femmes nous attachent les bras au moyen des lanières de cuir. Nos chevilles sont fixées au montant vertical, trop haut et trop en arrière que pour pouvoir servir d’appuis. Deux chaines nous tirent les genoux vers l’extérieur. Les croix se dressent. Un appui au niveau du sacrum nous pousse vers l’avant. Ainsi, les femmes ont un accès complet à nos queues et à nos couilles sans que nous puissions opposer la moindre résistance. Evidemment, je bande déjà.

  • Bon, on commence par « Jésus » dit Wanda.

  • Pour lui, la soumission est un jeu. Nous allons lui faire comprendre son erreur.

Conciliabule entre les femmes et Marie s’éclipse et revient avec un objet ayant la forme d’un cylindre avec un piston pouvant être vissé pour y comprimer quelque chose. Le fond se dévisse et présente une ouverture en forme de virgule. Marie se saisis du fond et me le passe au-dessus des couilles. Bernadette vient y visser le cylindre. Je comprends et en une seconde je suis couvert d’une sueur froide.

Wanda explique : « Chacune à notre tour, nous allons trouer d’un demi-tour le piston. Quand tu seras prêt à te soumettre et que nous estimerons que tu es mûr, nous arrêterons pour recevoir ta déclaration de soumission. Simple formalité n’est-il pas Pierre, Jean-François ? »

Ceux-ci acquissent mollement.

Les premiers demi-tours se font dans le vide mais dès le piston en contact avec mes couilles, je crains le pire. Après quelques tours, la douleur est intense et irradiante. Je hurle.

  • Trop tôt ! Il n’est pas mûr ! Il n’a pas vraiment mal ! déclare Wanda.

Elles refont chacune deux passages. Ce qui représente trois tours. Je hurle sans discontinuer. Je suis prêt à tout pour que cela s’arrête.

  • Bon ! Il semble à point ! décrète Wanda. Les deux autres femmes acquissent.

Wanda s’approche et refait deux demi-tours. Elles me regardent hurler. Elles attendent le retour du silence. Je ne hurle plus, je gémis.

  • Bon ! Tu vas déclarer à chacune d’entre nous : « Je reconnais avoir été dominé par la f o r c e et par la douleur, contre ma volonté. Je vous fais ma soumission complète. Vous ferez de moi ce que vous voulez et je ferai ce que vous m’ordonnerez. »

Je déclame ma soumission à Marie qui desserre le piston d’un demi-tour. Idem pour Bernadette. Et pour Wanda qui me soulage d’un tour.

Les femmes se retirent.

  • Putain ! J’ai fait tout ce qu’elles voulaient et elles me laissent ainsi !

  • C’est pour que la douleur se diffuse et que tu sois incapable de bander ce soir explique Pierre.

  • Ce n’est qu’un mauvais moment à passer ajoute Jean-François.

  • Vous y êtes passés ?

  • Non. Nous avons fait notre soumission plus facilement mais j’ai vu Wanda soumettre des récalcitrants au club explique Pierre.

  • Quel club ?

  • Le club BDSM. Wanda nous y emmène une fois par mois.

Les femmes reviennent. Elles nous détachent pour nous refixer au niveau des chevilles et des genoux sur le sol. Puis elles nous attachent les mains dans le dos et passent les cordes dans des poulies avant de nous tirer les bras vers le haut ce qui nous oblige à nous courber et mettre le front au sol.

  • Ils sont mignons comme cela. Leur petit cul offert à tous les sévices.

Elles peuvent me faire n’importe quoi si elles m’enlèvent ce truc qui porte le nom de Ball-Crusher.

Marie et Bernadette ont revêtu un gode-ceinture et, après les avoir lubrifiés, sodomisent leur compagnon respectif lesquels gémissent de plaisir.

  • Quand tu seras baissé, je veux t’entendre gémir comme une fille ! Compris me dit Wanda.

  • Oui !

  • Oui qui ?

  • Oui Madame.

  • Il faudra aussi que nous t’épilions complètement. Es-tu d’accord ?

  • Oui Madame ?

Moi qui n’avais jamais coupé un seul de mes poils et qui tiens plus du singe que de l’homme, cela va me changer. J’ai encore très mal et je me sens impuissant au sens classique du terme. Mais curieusement, je ne regrette rien de ce qui m’arrive. J’ai compris et accepté que Wanda me contrôlait complètement.

  • Quand tu rentreras du travail, tu feras tes exercices de muscu, puis tu prendras ta douche et resteras à poil. D’accord ?

  • Oui Madame.

Marie et Bernadette en ont terminé avec Pierre et Jean-François.

  • Vous le voulez ? Leur demande Wanda en me désignant.

  • Pas aujourd’hui répond Marie.

  • Moi non plus. Plus tard répond Bernadette.

  • Il faut que l’on t’explique. Pierre et Jean-François étaient mes amants. Depuis qu’ils sont avec Marie et Bernadette, ils ne le sont plus. Ils sont seulement des partenaires sexuels. Nous formons un sexe-groupe auquel tu peux te joindre. Nous nous interdisons toute relation en dehors du groupe. Les femmes sont bisexuelles. Les hommes pas encore mais nous essayons de les convertir. Acceptes-tu de te joindre à nous et de respecter nos règles ?

  • Oui Madame.

  • Bon. Nous les détachons et nous montons au lit.

Une fois dans la chambre qui ressemble encore à une salle de t o r t u r e, Marie et Pierre entament un missionnaire tandis que Bernadette se place en Andromaque sur Jean-François.

Moi, je n’ai pas de queue. Après m’avoir retiré le Ball-Crusher, Wanda me masse délicatement les couilles. La douleur subsiste quand même.

  • Tu te sens faible quand tu es incapable de bander m’adresse Marie.

  • Oui. Très faible Madame.

  • Demain, tout sera rentré dans l’ordre me dit Bernadette.

  • Je vous crois, Madame.

Ce qui me frappe, c’est les gémissements émis par les hommes. Moi qui, vu ma bonne condition physique, me contente d’inspirer simplement plus profondément quand je baise, je devrai m’appliquer. Les deux femmes finissent par jouir. Elles autorisent leur partenaire à éjaculer. Après quelques derniers mouvements, les hommes s’exécutent et expriment bruyamment leur plaisir. Après quoi, les femmes se couchent sur le dos, jambes écartées et ordonnent à leur partenaire de les nettoyer.

  • Bien entendu ? Bien vu ? me dit Wanda.

  • Oui Madame.

Marie et Bernadette rejoignent Wanda et me massent chacune une couille pendant que Wanda s’occupe de ma queue.

  • Oh ! Ooh ! Ooooh ! Cela refonctionne déjà dit Wanda.

Effectivement, leurs bons soins m’ont provoqué solide érection.

  • Je vais te faire une bonne pipe dit Wanda.

Elle s’applique effectivement.

  • Je veux t’entendre gémir !

Pendant de longues minutes, sous le regard de nos quatre compagnons, je gémis de plaisir et préviens finalement Wanda de ma prochaine éjaculation.

  • Tu peux éjaculer dans ma bouche !

  • Merci Madame.

Je me laisse aller. Wanda me pompe avec application si bien que lorsqu’elle me libère, je n’ai pas la moindre trace de sperme sur le gland. Wanda me roule ensuite une pelle et me refile tout le sperme qu’elle m’a pompé. J’accepte et avale celui-ci. Tous les cinq m’applaudissent.

  • Maintenant un bon cunnilingus !

Je prends position et m’applique comme la nuit précédente. Pierre et Jean-François se sont installés de part et d’autre et lui tètent chacun un sein en lui maintenant les bras écartés. Marie et Bernadette se sont disposées près de ses chevilles. Un fois son orgasme atteint, je laisse Wanda en profiter avant qu’elle ordonne : « T o r t u r e s-moi ! »

Les deux hommes lui tiennent les bras tandis que les femmes se sont assises sur ses chevilles. Je reprends mes attouchements sur son clitoris et pendant de longues minutes, Wanda devient véritablement folle de plaisir. Elle finit par m’inonder ce à quoi je m’attendais. Nous applaudissons tous.

  • Ouah ! Quel pied !

Nous nous sommes endormis et avons passé une bonne nuit échangeant quelques caresses avec des corps pas toujours identifiés.

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